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Avis de décès de Monsieur Jacques VENDEMAN
Publié le 29 août 2025 à AMIENS
Jacques VENDEMAN
Né le 20 novembre 1939 à MONTFERMEIL
Décédé à AMIENS
le 29 août 2025 à l'âge de 85 ans
Domicilié à VILLEMOMBLE
le 29 août 2025 à l'âge de 85 ans
Planter un arbre
Rendez hommage à Jacques VENDEMAN en plantant un arbre en sa mémoire
Un hommage fort de sens
Qui participe à la reforestation
4 personnes ont déjà planté un arbre hommage
03 22 25 00 98
18 Route du Crotoy
80120 Rue
80120 Rue
Chère famille, chers amis,
Nous avons la grande tristesse de vous faire part du décès de
Jacques VENDEMAN
survenu le vendredi 29 août 2025, à l'âge de 85 ans.
La cérémonie religieuse aura lieu
le vendredi 5 septembre 2025 à
10 heures 00 à l'adresse suivante :
Eglise de Favières, rue de l'église, FAVIERES, France.
Cette page vous permet de présenter vos condoléances à la famille et de partager l'avis de décès de Jacques.
Avec toute notre affection.
Planter un arbre
Rendez hommage à Jacques VENDEMAN en plantant un arbre en sa mémoire
Un hommage fort de sens
Qui participe à la reforestation
4 personnes ont déjà planté un arbre hommage
Déroulement des funérailles de Monsieur Jacques VENDEMAN
1
Lieu de repos
2
Mise en bière
Le vendredi 05 septembre 2025
à 09h00
Funérarium des 2 Baies
18 route du Crotoy, 80120 RUE
18 route du Crotoy, 80120 RUE
3
Cérémonie Religieuse
Le vendredi 05 septembre 2025
à 10h00
Eglise de Favières
rue de l'église, 80120 FAVIERES
rue de l'église, 80120 FAVIERES
4
Crémation
Le vendredi 05 septembre 2025
à 12h15
Crématorium Le Rivage
2 Rue du Ruisseau de la Hayette, 62280 SAINT-MARTIN-BOULOGNE
2 Rue du Ruisseau de la Hayette, 62280 SAINT-MARTIN-BOULOGNE
5
Dépôt des cendres au columbarium
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18 hommages ont été rendus :
Message de Juliette Huchon
Publié le dimanche 14 septembre 2025 à 22h10
" Cet hommage n’est visible que par la famille. "
Message de Isabelle Huchon accompagné de photo(s)
Publié le vendredi 12 septembre 2025 à 13h42
" Il m’est très douloureux d’exprimer en quelques lignes ce que je ressens et ce nous avons vécu tous les deux.
Tu es monté vers les étoiles et j’ai du mal à réaliser que tu ne seras plus jamais présent lors de nos réunions familiales.
Je pense qu’il va me falloir du temps pour accepter ton départ soudain, Papa, toi mon père que j’ai tant admiré lorsque j’étais enfant puis adolescente.
Aujourd’hui, je suis orpheline en partie mais je garde au plus profond de moi, les valeurs que tu m’as transmis :
Ton honnêteté, ta fidélité et le respect d’autrui.
Tu m’as transmis également :
Le goût pour la randonnée. Je me souviens de nos fréquentes promenades en forêt de Senlis lorsque j’étais enfant avec mon frère.
Ta passion pour les oiseaux, plus particulièrement les passereaux que tu détenais en bon nombre dans ta volière.
Ta passion pour le sport et surtout le football. Nous aimions échanger avant et après un match.
Enfin, je me souviens de l’émotion que tu transmettais lorsque tu évoquais l’Italie et précisément ta région du Frioul où nous avons eu l’occasion de passer deux séjours en famille.
Je me souviens également du plaisir que tu avais d’évoquer ta mère, Rita CHIVILO, en racontant des anecdotes de ton enfance en Italie.
Papa, tu faisais parti de cette génération qui valorisait le sacrifice de soi.
Je te remercie pour tout ce que tu m’as apporté à moi et à mes enfants.
Je terminerai en citant Jean d’Ormesson :
« Il y a quelque chose de plus fort que la mort c’est la présence des absents dans la mémoire des vivants »
Ta fille Isabelle. "
Tu es monté vers les étoiles et j’ai du mal à réaliser que tu ne seras plus jamais présent lors de nos réunions familiales.
Je pense qu’il va me falloir du temps pour accepter ton départ soudain, Papa, toi mon père que j’ai tant admiré lorsque j’étais enfant puis adolescente.
Aujourd’hui, je suis orpheline en partie mais je garde au plus profond de moi, les valeurs que tu m’as transmis :
Ton honnêteté, ta fidélité et le respect d’autrui.
Tu m’as transmis également :
Le goût pour la randonnée. Je me souviens de nos fréquentes promenades en forêt de Senlis lorsque j’étais enfant avec mon frère.
Ta passion pour les oiseaux, plus particulièrement les passereaux que tu détenais en bon nombre dans ta volière.
Ta passion pour le sport et surtout le football. Nous aimions échanger avant et après un match.
Enfin, je me souviens de l’émotion que tu transmettais lorsque tu évoquais l’Italie et précisément ta région du Frioul où nous avons eu l’occasion de passer deux séjours en famille.
Je me souviens également du plaisir que tu avais d’évoquer ta mère, Rita CHIVILO, en racontant des anecdotes de ton enfance en Italie.
Papa, tu faisais parti de cette génération qui valorisait le sacrifice de soi.
Je te remercie pour tout ce que tu m’as apporté à moi et à mes enfants.
Je terminerai en citant Jean d’Ormesson :
« Il y a quelque chose de plus fort que la mort c’est la présence des absents dans la mémoire des vivants »
Ta fille Isabelle. "
Message de Claire Huchon accompagné de photo(s)
Publié le mardi 09 septembre 2025 à 10h51
" Mon petit papy,
Je ne pensais pas devoir écrire si tôt ces mots. Le choc, la tristesse et l'incompréhension sont encore trop présents pour que je puisse réaliser vraiment que je ne te reverrais plus...
Nos souvenirs ensemble refont surface et j'y repense avec beaucoup de nostalgie.
Quelle belle enfance nous avons eu grâce à Babette et toi...
Nos vacances scolaires à Favieres à bricoler avec toi dans le garage, à faire le potager, à fabriquer des épouvantails ou à promener Flipper.
Tu as toujours été un modèle pour nous tes petits enfants, qu'on respectait, qu'on écoutait et qu'on adorait.
Les années ont passé et tu as toujours su nous accompagner, plus ou moins à distance, dans chaque étape de nos vies.
La dernière en date pour ma part, est la naissance de ma petite Victoria.
Depuis le temps que tu voulais un arrière petit enfant et cette petite princesse est arrivée, comme un cadeau pour ton anniversaire avec un jour d'avance. Elle était pressée de te rencontrer.
Je suis heureuse d'avoir pu t'offrir ce plaisir d'être arrière grand père mais je suis très triste de savoir qu'elle ne pourra pas partager plus de moments avec toi, notamment son premier anniversaire où vous auriez soufflé vos bougies ensemble.
Veilles sur nous, où que tu te trouves mon petit papy, j'espère que tu resteras fier de nous.
Claire, ta petite fille qui t'aime "
Je ne pensais pas devoir écrire si tôt ces mots. Le choc, la tristesse et l'incompréhension sont encore trop présents pour que je puisse réaliser vraiment que je ne te reverrais plus...
Nos souvenirs ensemble refont surface et j'y repense avec beaucoup de nostalgie.
Quelle belle enfance nous avons eu grâce à Babette et toi...
Nos vacances scolaires à Favieres à bricoler avec toi dans le garage, à faire le potager, à fabriquer des épouvantails ou à promener Flipper.
Tu as toujours été un modèle pour nous tes petits enfants, qu'on respectait, qu'on écoutait et qu'on adorait.
Les années ont passé et tu as toujours su nous accompagner, plus ou moins à distance, dans chaque étape de nos vies.
La dernière en date pour ma part, est la naissance de ma petite Victoria.
Depuis le temps que tu voulais un arrière petit enfant et cette petite princesse est arrivée, comme un cadeau pour ton anniversaire avec un jour d'avance. Elle était pressée de te rencontrer.
Je suis heureuse d'avoir pu t'offrir ce plaisir d'être arrière grand père mais je suis très triste de savoir qu'elle ne pourra pas partager plus de moments avec toi, notamment son premier anniversaire où vous auriez soufflé vos bougies ensemble.
Veilles sur nous, où que tu te trouves mon petit papy, j'espère que tu resteras fier de nous.
Claire, ta petite fille qui t'aime "
Message de Julia Vendeman
Publié le mardi 09 septembre 2025 à 10h40
" Cet hommage n’est visible que par la famille. "
Message de Anne VENDEMAN accompagné de photo(s)
Publié le mardi 09 septembre 2025 à 10h12
" Cher Papa,
Les nuits blanches qui ont suivi ton décès…
nous ont fait replonger dans nos souvenirs.
Elles ont ravivé des moments heureux, douloureux,
des deuils déjà traversés.
Étonnamment, je me suis très vite souvenue des obsèques de ta sœur, Valia.
Ce jour-là, tu m’avais demandé d’apprendre par cœur un poème,
et de le réciter.
Un poème sur la souffrance et l’espérance…
Et je me souviens encore de certains vers.
Puis, en laissant mes pensées vagabonder,
je me suis rappelée tous les poèmes que tu connaissais par cœur.
Tu aimais les dire, les redire,
parce qu’ils avaient du sens pour toi.
Il y avait les fables de La Fontaine,
Et ta préférée, Le Laboureur et ses enfants,
un texte intemporel sur la transmission.
Il y avait aussi Victor Hugo,
avec Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin,
un poème bouleversant sur l’amour filial,
celui qu’il portait à sa fille Léopoldine.
Et puis Prévert,
ou encore Les Conquérants de José-Maria de Heredia…
Tous ces textes parlaient de transmission,
d’amour,
de courage,
de devoir.
Toutes ces valeurs que tu incarnais pleinement.
⸻
Pour La transmission et bien…
Tu étais un homme aux multiples savoirs.
Et tu nous as transmis,
à Frédéric, Isabelle et moi,
de manières différentes bien sûr :
le goût des choses manuelles,
ta curiosité intellectuelle,
ton amour de la nature,
et ton admiration pour l’art.
Pour ceux qui ne le savent pas…
Tu as été un petit Rital,
arrivé fraîchement en France après la Seconde Guerre mondiale.
Un bon élève — brillant même —
tu as sauté des classes.
Tu as grandi dans la simplicité,
mais avec bonheur,
aux côtés de Rita, ta mère que tu aimais tant ,
une femme courageuse et aimante.
Les anecdotes que tu aimais nous raconter de cette époque étaient nombreuses.
Elles nous faisaient rire, parfois réfléchir,
et elles montraient à quel point tu étais attaché à tes racines.
L’amour de l’Italie ne t’a jamais quitté.
C’était en toi.
Comme une musique de fond, toujours là.
Et puis il y avait le football, ta grande passion.
Mais tu pensais — à tort peut-être —
que ce n’était pas une carrière assez sérieuse…
Et bien sûr, il y avait les oiseaux,
Chanteur ou pas, que tu as toujours aimé,
Tu as longtemps possédé une carte d’éleveur, t’essayant à de multiples croisement, que nous vendions au marché Saint Michel à Paris.
⸻
Le courage et la volonté
Il y aurait tant à dire…
Il t’a fallu du courage pour reprendre les études le soir,
au Conservatoire des Arts et Métiers,
et devenir ingénieur.
Tu as mené une carrière passionnante,
pleine de défis et de voyages à travers le monde.
Curieux et travailleur jusqu’au bout,
tu n’as jamais cessé de chercher à comprendre
le monde et les choses.
Tu as aussi eu du courage pour construire trois maisons,
pour accompagner ta sœur dans la maladie,
pour traverser le deuil de ton fils.
Et sans doute, jusqu’au bout,
tu as souffert.
Mais tu ne te plaignais pas.
Tu souffrais en silence.
Ce jeudi matin encore,
alors que la douleur devait être immense,
tu as trouvé la force de marcher,
quand d’autres seraient déjà tombés.
Ce courage-là, cette volonté-là,
sont devenus rares.
Et pour moi, tu resteras un modèle.
⸻
Un mot pour toi, Maman
Toi qui as été sa compagne aimante de chaque instant.
Je veux saluer ton abnégation,
ton courage,
ton amour,
et ta patience, en toute circonstance.
Je suis heureuse que tu aies pu lui parler une dernière fois.
Sois certaine de son amour profond pour toi.
Et garde-le au fond de ton cœur.
Cela te portera.
⸻
Aujourd’hui, je veux remercier chacun d’entre vous,
présents ici pour lui rendre un dernier hommage,
et ceux qui nous ont envoyé des messages de soutien.
Prenez un instant pour penser à lui…
à ce qu’il était,
à ce qu’il représentait pour vous.
Un mot,
une image,
une sensation.
⸻
Tu vas désormais reposer ici, Papa, dans ce cimetière.
Car c’est à Favières que tu voulais finir tes jours.
Une terre humble,
modeste,
comme toi.
Une terre que tu as cultivée,
plantée,
chérie…
et parfois même maudite.
Une terre riche,
où la nature est encore reine.
Une terre balayée par une énergie invisible…
Une force qui me fait penser à toi,
depuis que tu es parti…
C’est le vent.
Le vent,
qui peut caresser,
rafraîchir,
pousser en avant…
et, après la pluie,
faire apparaître les rayons du soleil.
Adieu mon cher Papa,
Repose en paix
Ta fille Anne "
Les nuits blanches qui ont suivi ton décès…
nous ont fait replonger dans nos souvenirs.
Elles ont ravivé des moments heureux, douloureux,
des deuils déjà traversés.
Étonnamment, je me suis très vite souvenue des obsèques de ta sœur, Valia.
Ce jour-là, tu m’avais demandé d’apprendre par cœur un poème,
et de le réciter.
Un poème sur la souffrance et l’espérance…
Et je me souviens encore de certains vers.
Puis, en laissant mes pensées vagabonder,
je me suis rappelée tous les poèmes que tu connaissais par cœur.
Tu aimais les dire, les redire,
parce qu’ils avaient du sens pour toi.
Il y avait les fables de La Fontaine,
Et ta préférée, Le Laboureur et ses enfants,
un texte intemporel sur la transmission.
Il y avait aussi Victor Hugo,
avec Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin,
un poème bouleversant sur l’amour filial,
celui qu’il portait à sa fille Léopoldine.
Et puis Prévert,
ou encore Les Conquérants de José-Maria de Heredia…
Tous ces textes parlaient de transmission,
d’amour,
de courage,
de devoir.
Toutes ces valeurs que tu incarnais pleinement.
⸻
Pour La transmission et bien…
Tu étais un homme aux multiples savoirs.
Et tu nous as transmis,
à Frédéric, Isabelle et moi,
de manières différentes bien sûr :
le goût des choses manuelles,
ta curiosité intellectuelle,
ton amour de la nature,
et ton admiration pour l’art.
Pour ceux qui ne le savent pas…
Tu as été un petit Rital,
arrivé fraîchement en France après la Seconde Guerre mondiale.
Un bon élève — brillant même —
tu as sauté des classes.
Tu as grandi dans la simplicité,
mais avec bonheur,
aux côtés de Rita, ta mère que tu aimais tant ,
une femme courageuse et aimante.
Les anecdotes que tu aimais nous raconter de cette époque étaient nombreuses.
Elles nous faisaient rire, parfois réfléchir,
et elles montraient à quel point tu étais attaché à tes racines.
L’amour de l’Italie ne t’a jamais quitté.
C’était en toi.
Comme une musique de fond, toujours là.
Et puis il y avait le football, ta grande passion.
Mais tu pensais — à tort peut-être —
que ce n’était pas une carrière assez sérieuse…
Et bien sûr, il y avait les oiseaux,
Chanteur ou pas, que tu as toujours aimé,
Tu as longtemps possédé une carte d’éleveur, t’essayant à de multiples croisement, que nous vendions au marché Saint Michel à Paris.
⸻
Le courage et la volonté
Il y aurait tant à dire…
Il t’a fallu du courage pour reprendre les études le soir,
au Conservatoire des Arts et Métiers,
et devenir ingénieur.
Tu as mené une carrière passionnante,
pleine de défis et de voyages à travers le monde.
Curieux et travailleur jusqu’au bout,
tu n’as jamais cessé de chercher à comprendre
le monde et les choses.
Tu as aussi eu du courage pour construire trois maisons,
pour accompagner ta sœur dans la maladie,
pour traverser le deuil de ton fils.
Et sans doute, jusqu’au bout,
tu as souffert.
Mais tu ne te plaignais pas.
Tu souffrais en silence.
Ce jeudi matin encore,
alors que la douleur devait être immense,
tu as trouvé la force de marcher,
quand d’autres seraient déjà tombés.
Ce courage-là, cette volonté-là,
sont devenus rares.
Et pour moi, tu resteras un modèle.
⸻
Un mot pour toi, Maman
Toi qui as été sa compagne aimante de chaque instant.
Je veux saluer ton abnégation,
ton courage,
ton amour,
et ta patience, en toute circonstance.
Je suis heureuse que tu aies pu lui parler une dernière fois.
Sois certaine de son amour profond pour toi.
Et garde-le au fond de ton cœur.
Cela te portera.
⸻
Aujourd’hui, je veux remercier chacun d’entre vous,
présents ici pour lui rendre un dernier hommage,
et ceux qui nous ont envoyé des messages de soutien.
Prenez un instant pour penser à lui…
à ce qu’il était,
à ce qu’il représentait pour vous.
Un mot,
une image,
une sensation.
⸻
Tu vas désormais reposer ici, Papa, dans ce cimetière.
Car c’est à Favières que tu voulais finir tes jours.
Une terre humble,
modeste,
comme toi.
Une terre que tu as cultivée,
plantée,
chérie…
et parfois même maudite.
Une terre riche,
où la nature est encore reine.
Une terre balayée par une énergie invisible…
Une force qui me fait penser à toi,
depuis que tu es parti…
C’est le vent.
Le vent,
qui peut caresser,
rafraîchir,
pousser en avant…
et, après la pluie,
faire apparaître les rayons du soleil.
Adieu mon cher Papa,
Repose en paix
Ta fille Anne "
Angelo a planté un arbre
Publié le vendredi 05 septembre 2025 à 00h00
" De la part de Angelo Agnetti "
Message de Sophie et Michel Moghli
Publié le jeudi 04 septembre 2025 à 17h11
" Cet hommage n’est visible que par la famille. "
Message de Maya Churbaji
Publié le jeudi 04 septembre 2025 à 15h44
" Cet hommage n’est visible que par la famille. "
Maya a planté un arbre
Publié le jeudi 04 septembre 2025 à 15h43
" Chers Anne, Alice, Oubay, Raphael, et toute la famille Vendeman,
Je me souviendrai toujours de la gentillesse et de la chaleur de votre père. Sa bienveillance et son attention sincère envers les autres resteront à jamais dans nos mémoires. Qu’il repose en paix, et que son souvenir continue de réchauffer vos cœurs dans ces moments difficiles.
Avec toute mon affection,
Maya Churbaji "
Je me souviendrai toujours de la gentillesse et de la chaleur de votre père. Sa bienveillance et son attention sincère envers les autres resteront à jamais dans nos mémoires. Qu’il repose en paix, et que son souvenir continue de réchauffer vos cœurs dans ces moments difficiles.
Avec toute mon affection,
Maya Churbaji "
Message de Angelo Agnetti
Publié le jeudi 04 septembre 2025 à 15h01
" Grande tristesse d'avoir appris le décès de
Giacomo ( Fratello d'Italia ) lui qui adorait commencer ces messages par Frère d'Italie.... restera ce souvenir parmi tant d'autres. Trop loin pour être présent vendredi , mais nos pensées seront avec vous. Thérèse et moi t'embrassons fortement Babette. "
Giacomo ( Fratello d'Italia ) lui qui adorait commencer ces messages par Frère d'Italie.... restera ce souvenir parmi tant d'autres. Trop loin pour être présent vendredi , mais nos pensées seront avec vous. Thérèse et moi t'embrassons fortement Babette. "
Message de Aous Churbaji
Publié le jeudi 04 septembre 2025 à 11h46
" Cet hommage n’est visible que par la famille. "
MARIE-FRANCE a planté un arbre
Publié le jeudi 04 septembre 2025 à 08h44
" Mes plus sincères condoléances. "
Message de MARIE-FRANCE SEVERIN
Publié le jeudi 04 septembre 2025 à 08h32
" Chère Anne,
C'est avec émotion et tristesse que j'ai appris le décès de ton papa.
Je te présente à toi, à ta maman ainsi qu'à toute la famille mes plus sincères condoléances.
Que le Seigneur vous réconforte et vous bénisse en ces moments douloureux et vous donne la force et le courage pour surmonter la perte de cet être aimé.
Près de vous par la pensée, bien affectueusement.
Marie-France "
C'est avec émotion et tristesse que j'ai appris le décès de ton papa.
Je te présente à toi, à ta maman ainsi qu'à toute la famille mes plus sincères condoléances.
Que le Seigneur vous réconforte et vous bénisse en ces moments douloureux et vous donne la force et le courage pour surmonter la perte de cet être aimé.
Près de vous par la pensée, bien affectueusement.
Marie-France "
Message de Maya Churbaji
Publié le mercredi 03 septembre 2025 à 15h14
" Cet hommage n’est visible que par la famille. "
Message de Coralie Porquet
Publié le mardi 02 septembre 2025 à 17h53
" Cet hommage n’est visible que par la famille. "
Guillaume a planté un arbre
Publié le mardi 02 septembre 2025 à 11h27
" Toutes nos plus sincères condoléances. "
Message de Serge Dupont
Publié le mardi 02 septembre 2025 à 08h55
" C'est avec beaucoup d'émotions et une immense tristesse que j'ai pu apprendre le départ de mon grand ami, Jacques dit Jacquot pour les intimes tu étais pour moi comme un second père . J'ai tellement de merveilleux souvenirs qui me revient à l'esprit passer avec toi avec Babette et Anne des moments inoubliables qui resteront à jamais gravé dans mon esprit. Tu étais un homme Bon, Gentil, attentionné, brave toujours de bons conseils pour moi et à l'écoute je n'oublierai jamais tous ces moments de parties de pêches de promenades les devoirs fait ensemble quand j'étais enfant ces moments merveilleux passaient à tes côtés. Avec mes enfants ils se joignent à moi dans la tristesse. Tu resteras toujours dans mon cœur et mon esprit je ne t'oublierai jamais Mon Jacquot. Recevez mes plus sincères condoléances je me joins à vous dans ce moment de grande tristesse. Serge Dupont et ses enfants. "
Message de Bruno Ternois
Publié le lundi 01 septembre 2025 à 21h30
" Cet hommage n’est visible que par la famille. "
N°Orias : 20 006 376